Roshini Herat est née au Sri Lanka en 1966. Dès sa plus tendre enfance,

elle est attirée par le piano en entendant jouer sa grand-mère. Ses parents remarquent très tôt son talent et l’encouragent. Adolescente, elle se fait un nom dans son pays natal en jouant en récital pour la radio et pour la télévision, avant de remporter en 1985 le premier prix du concours national de piano organisé par l’Alliance Française à l’issue duquel elle se voit attribuer une bourse pour venir à Paris.

Elle y reçoit ses premiers conseils de Marie-Françoise Bucquet, mais sa rencontre décisive c’est en la personne de Théodor Paraskivesco qu’elle la fait. Le Maître, professeur alors au CNSM de Paris décide de la faire travailler.

Depuis de nombreuses années, Roshini Hérat donne des récitals, joue en musique de chambre et avec orchestre. Malgré l’étendue et la diversité de son répertoire et parce-que sa culture l’éloigne de toute démonstration tapageuse, Roshini Hérat s’attache à faire ressortir le caractère unique de chaque oeuvre.

Ses concerts sont rigoureux, vivants et inspirées.

La Presse :

« Concentration absolue, toucher de grande classe. C’est particulièrement dans la sonate en la D 959 de Schubert que Roshini Hérat sut convaincre avec un minimum d’effets refusant aussi bien le pathos que l’exhibition technique. » l’Express (Suisse) .

« Son toucher est d’une irrésistible délicatesse et elle peut faire preuve d’une force féroce quand c’est nécessaire. Roshini Hérat est une pianiste totalement habitée. » Sunday Times (Sri Lanka).

« Roshini Hérat semble ignorer les difficultés techniques et son interprétation généreuse a suscité de chaleureux applaudissements. » Le courrier des Ardennes.

« Nul doute que sa faculté étonnante à restituer le style propre de chaque compositeur contribua à renouveler constamment l’émerveillement du public. » Island (Sri Lanka).

« Pas de moment d’ennui dans la longue série des Préludes de Chopin lue avec une grande intelligence. » Odile Crespi (Le journal du Pays Basque).

« Roshini Hérat a su nous faire oublier la redoutable difficulté technique des tableaux d’une exposition de Moussorgsky. » Le Républicain.

«- Mêlant un jeu original et subtil empreint d’une sorte d’humilité et d’une sononrité exceptionnelle, elle se classe parmi les excellentes pianistes. » Le Progrès.

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